Athlète de haut niveau

« Mon poste de responsable marketing opérationnel et communication chez Acolyance vigne a été créé en 2018 lors du regroupement des trois entités viticoles de Cérèsia (Acolyance vigne, Prestalyance, Ydeal) et la création du pôle Champagne Vitalyance, retrace Adrien Quatresols. Né de parents viticulteurs, j’ai toujours voulu travailler dans ce secteur. Dans ce poste, tout était à créer, c’est ce qui était motivant ! » Sa mission est à la fois multitâche, multimarque et multicible : concevoir et piloter les actions de marketing et communication commerciale pour les trois entités (équipements viti-vinicoles, fertilisation, santé des végétaux, packaging…), déployer ces actions dans les douze magasins d’Acolyance vigne, animer les réseaux sociaux… Prochain challenge : développer la communication de Prestalyance (prestation de champagnisation et habillage des bouteilles). Comprendre les valeurs du monde viticole, aimer le contact, être innovant, organisé et avoir une bonne dose d’énergie sont indispensables pour mener à bien sa mission.

La vie d’Adrien pourrait déjà être suffisamment remplie. Mais c’est sans compter des aptitudes sportives singulières. Il a commencé le football dès 3 ans, atteignant un niveau national à 14 ans. Une blessure au genou met cependant fin à sa carrière quatre ans plus tard. Il découvre alors le triathlon en 2018. « J’ai démarré la natation et me suis entraîné dans les trois disciplines avec un rêve : finir un Iron Man, l’épreuve la plus longue en triathlon. » À savoir 3,8 km de natation, 180 km de vélo, 42 km de course à pied. Ça sera chose faite en 2021 à Nice ! Adrien participe aussi à des formats 70.3 (moitié de l’Iron Man) et à l’Alpsman en 2023, un triathlon extrême à Annecy où il a fini « top finisher ». Actuellement classé dans les 30 premiers Français de sa catégorie, son objectif est de se qualifier pour les championnats du monde Iron Man. Mais qui dit sport, dit entraînement. « Parallèlement à mon plein-temps chez Acolyance vigne, je m’entraîne 10 h par semaine en moyenne, soit deux séances de piscine, deux à quatre séances de course à pied et quatre séances de vélo. »

Cette passion a aussi un coût qu’Adrien estime à 2 000 € par an au minimum. Depuis cette année, Cérèsia, De Sangosse et les Laboratoires Ceetal-CMPC le sponsorisent. « Les deux derniers sont des fournisseurs d’Acolyance vigne à qui j’ai parlé de ma passion. » Sa tenue de course intègre les logos de ses partenaires. « Les compétences de mon métier m’aident beaucoup, de même que l’importance de mon réseau. » Et le parallèle entre son travail et le sport ne s’arrête pas là. « Dans les deux domaines, ce sont la persévérance, la rigueur, l’audace et l’envie de toujours se surpasser qui font la différence », souligne Adrien qui a trouvé un équilibre entre les deux. « Je ne pourrais pas travailler sans faire de sport et inversement. »